Max Lucado

Trente mots dans ce défilé d’espoir (et Dieu sait combien le monde en a besoin) qui commence avec Dieu, se termine avec la vie et nous appelle à faire de même. Verset assez court pour être écrit sur une serviette de table ou mémorisé en peu de temps, mais assez solide pour résister aux tempêtes et aux questions soulevées pendant deux mille ans. Si vous ne connaissez rien à la Bible, commencez ici. Si vous la connaissez, retournez-y. Nous avons tous besoin de ce rappel. Le cœur humain est au cœur des problèmes humains. Le traitement que Dieu prescrit nous est donné en Jean 3.16.

Ce verset est un alphabet de grâce, une table des matières de l’espérance chrétienne. Chaque mot est un coffret de sécurité regorgeant de joyaux. Relisez-le tout haut et lentement, et arrêtez-vous au mot qui attire votre attention ; c’est ce que l’auteur fait dans le présent livre. Vous en serez richement béni.

Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle.

Quel monde ? Notre monde ! Un monde où rôdent les bourreaux des cœurs et les femmes fatales, les trompeurs et les gens qui se plaisent à éteindre l’espoir ; un monde où les dictateurs agissent en toute impunité et où les agresseurs perpètrent leurs délits ; un monde où les révérends se croient dignes de porter ce titre. Mais Dieu aime ; il aime tellement le monde qu’il a donné :

• Ses déclarations ?
• Ses règlements ?
• Ses remarques incidentes ?
• Ses édits ?

En fait, rien de tout cela. La vérité de Jean 3.16, qui donne la paix au cœur, qui dépasse l’intelligence et qui conclut le marché est la suivante : Dieu a donné son Fils... son Fils unique. Ce ne sont pas des idées abstraites que nous rencontrons ici, mais la divinité enveloppée d’un manteau humain. Dans quel but ? « Afin que quiconque croit en lui ne périsse pas. »